L’extension des cils est actuellement très appréciée par une clientèle de plus en plus variée. C’est pour cela que vous souhaitez ouvrir votre salon d’extension de cils. Comment devez-vous alors vous y prendre ?
Suivre une formation
Avant d’exercer une activité, surtout si celle-ci est dans le domaine de l’esthétique, vous devez suivre une formation. Actuellement, de nombreux instituts peuvent vous former sur les techniques d’extension des cils : le volume russe et le cil à cil. Mais le plus important est de vous tourner vers le bon centre de formation d’extension de cils Bordeaux qui peut assurer votre compétence. Vous gagnerez ainsi en expérience et pourrez ensuite concrétiser votre rêve d’ouvrir votre salon de beauté du regard.
Avoir ou non un diplôme ?
Votre formation vous permet d’obtenir un CAP esthétique ou un BEP dans le même domaine. Au début, vous pouvez exercer dans un institut. Puis, après avoir économisé et acquis de l’expérience, vous pouvez ouvrir votre propre salon d’extension de cils.
Toutefois, il est possible de tenir votre propre institut sans avoir de diplôme. Vous devez seulement avoir au moins trois ans d’expérience en tant qu’employé dans un salon esthétique ou travailleur indépendant ou encore gestionnaire d’entreprise. Le mieux est donc de suivre des cours afin d’avoir un minimum de prérequis.
Financer votre projet
Même si votre projet tient la route, vous n’arriverez pas à le réaliser du jour au lendemain. Vous devez bien vous préparer. Vous devez d’abord établir un business plan. Puis, cherchez le local où vous allez vous implanter. Notez que la procédure pour la création de votre salon d’extension des cils et le statut juridique peuvent être différés selon votre cas.
Sachez également que vous pouvez emprunter de l’argent à un établissement financier si vous n’avez pas d’apport personnel ou que celui-ci est insuffisant. N’oubliez pas alors de présenter à la banque des éléments sur votre future rentabilité. Bien sûr, une étude de marché est essentielle dans le lancement de votre projet. Enfin, n’oubliez pas de vous inscrire à la Chambre des métiers.